Cerca nel blog

sabato 6 febbraio 2016

VIRGILIO GAITO: 'LE NIVEAU'



Abbiamo già offerto alla c.a. dei nostri Lettori le intense pagine tracciate  nel lontano 2001 dall'Ill.mo e Risp.mo Fratello VIRGILIO GAITO, con oggetto la poesia del Fratello Antonio De Curtiis  'A LIVELLA.
Grande è stata l'attenzione per questo particolare scritto, così come grande  è il rispetto che tutti indistintamente nutrono per questo Illustrissimo Fratello.
La Sua cortesia e il nostro concomitante desiderio di porgere ai nostri Lettori sempre nuovi spunti ed elementi di riflessione, senza preclusione alcuna, ci hanno messo nella condizione di poter rendere pubblico lo studio a firma dell'Ill.mo e Rispettabilissimo Fratello Gaito tradotto in lingua francese dalla bravissima Prof.ssa Caratelli.
Un 'dono' nel ''dono' quello che Virgilio ha inteso fare ai Lettori tutti, specie a quelli addentro al Mondo Iniziatico: anche perché la traduzione in lingua francese offre altre sfumature certamente intense e pervase da un particolare fascino.
Concludiamo riportando le medesime parole utilizzate dall'Ill.mo Fratello: "... voila le Niveau. Alla Francia ed alla sua cultura, in un momento così colmo di devastante stupidità.  Je suis parisien, vive frère Voltaire et la tolerance...".  

Le Niveau

         Parmi les poèmes jallis de l’âme sensible de notre Frère Antonio De Curtis, alias Totò,  le plus connu et récité est certainement “Le Niveau”, pour la veine de profonde humanité qui y règne, mais surtout, à cause de sa signification ésotérique.   Et à nous, qui sommes initiés comme lui,  ce poème apparaît,  dans toute son évidence, comme voulant nous rappeler la caducité des choses terrestres,   qui révèlent leur irrémédiable inanité   face à l’événement final qui met fin à notre existence: la Mort.
       Le poète imagine qu’il a été  renfermé dans un cimetière,   s’étant attardé à  méditer sur la pompe des tombes et des inscriptions funéraires qui réflètent la condition sociale des défunts.  Même dans cet endroit si sévère,  les morts   sont rappelés au bon souvenir de leur famille et des voyageurs pour leurs qualités terrestres, réelles ou imaginaires, et beaucoup plus honorés s’ils avaient occupé une position élevée dans l’échelle sociale.
  Tout à coup, tout près de leurs tombes, le Poète voit se concrétiser deux images, celle d’un noble monsieur arrogant et richement vêtu et celle d’un pauvre éboueur, humble, respectueux et mal habillé. Le noble accuse ce dernier  de haute trahison, parce qu’il s’était fait enterrer dans une tombe très modeste et à l’habandon, tout juste à côté de son tombeau resplendissant  de lumières, fleurs et d’inscriptions éclatantes.
Tout d’abord l'accusé se défend par un  désarmant appel en complicité: c’était sa famille qui avait pris  cette décision  sans le consulter et lui, étant mort, n’avait  pu s’y opposer. Lui, il n’aurait jamais osé  faire autant. 
         Face au ton grossier du Noble qui le somme de transporter immédiatement ses humbles dépouilles malodorantes bien loin de son magnifique tombeau, en lui évitant ainsi d’avoir recours à la violence, ce qui serait contraire à son rang, l’Eboueur avec un élan de fierté  lui rappelle que la Mort est un Niveau qui efface toute pompe terrestre et qui rend tous égaux devant elle.
        Il conclut avec une sagesse infinie : (en dialecte napolitain)« nuje simmo serie …appartenimmo alla Morte »  (Nous sommes sérieux … nous appartenons à la Mort). 
        Dans la multiplicité des messages sur le monde des hommes que Toto a livrés à ses poèmes, de manière simple et donc à la portée de tous les lecteurs, mais  pour cela encore plus appropriés à nous stimuler de profondes réflexions, nous saisissons une invitation à la simplicité, à la redécouverte des valeurs authentiques, à la fraternité, à l’égalité, à la liberté, à l’amour.  
         Et, même si la fresque du poème “Le Niveau” se conclut aux yeux du profane avec la représentation de la majesté de la Mort qui exige d’être “sérieux” dans le sens de surmonter toute cause de division, de séparation, d’incompréhension, de haine, de vexation, pour nous Initiés le message de notre Frère Antonio De Curtis évoque immédiatement l’exhortation du Maître Vénérable lors de la séance d’ouverture des travaux de Loge:  “Tout dans ce Temple doit être sérieux,  sage, bienfaisant et  joyeux”. 
 Et c’est là l’impératif catégorique qui découle de l’Initiation même, que chacun de nous a dramatiquement vécue.
     
Dans la vie humaine il est en effet  possible de mourir deux fois; l’une lorsque notre corps se sépare du soi–disant esprit de vie et que , se corrompant rapidement, se transforme en cendres; l’autre quand on traverse le rideau de feu qui sépare le profane du sacré et ce au moment où l’on devient un initié.
 En grec “initier” est exprimé par le verbe “TELEUTAI” qui signifie faire mourir.  “Initier” en effet est comme faire mourir, causer  la mort. Mais il ne s’agit pas là d’une mort totale, définitive, mais  d’une sortie, comme pour rejoindre une porte donnant accès à une autre dimension: en effet la sortie est suivie d’une entrée. L’initié passe d’un monde à l’autre et pour cela il subit une transformation; il change de niveau, devient différent.
        Voilà encore  la signification de “Niveau”, que Toto attribue à la Mort! C’est la conclusion d’un voyage terrestre, où les métaux ne font que du vacarme, et c’est en même temps  le départ pour atteindre la Verité, de laquelle l’initiè doit s’approcher en gardant son sérieux pour que, dans la paix retrouvée, son Temple intérieur,   puisse en tirer “bienfaits et joie”.
La mort initiatique est la mort mondaine en tant que franchissement de la condition  profane, de sorte que le néophyte semble subir un processus de régression, sa renaissance est comparée à un retour du phétus dans l’utérus maternel. Certainement il pénètre dans la nuit, mais si cela ressembre à l’obscurité du sein maternel, la nuit de l’initié possède la vastité – et que cela ne semble pas contradictoire -  la luminosité de la nuit cosmique.   
        Et de cette si profonde et exaltante signification de l’Initiation maçonnique nous  parvient un témoignage de la part de l’un des plus grands génies exprimés par l’humanité, Wolfgang Amadeus Mozart. Dans sa célèbre lettre du 4 avril 1787, Mozart écrit à son père, lui aussi devenu franc-maçon:      "Puisque, somme toute,  la Mort, est le véritable but de notre existence, pendant ces dernières années  je me suis tellement rapproché de cette bonne et fidèle Amie de l’Humanité que son image ne m’inspire plus terreur, mais au contraire me soulage et me reconforte! Et je remercie Dieu de m’avoir donné l’occasion (vous savez ce que je veux dire) d’apprendre que la Mort est la clé qui ouvre la porte de notre véritable bonheur".
        Le divin Mozart savait en effet que l’initiation marque le début irréversible d’une dimension spirituelle, où se trouvait ce véritable  bonheur qu’il avait religieusement cherché  toute sa vie durant. 
        C’est en effet la Franc-maçonnerie, comme admirablement l’affirmait notre Frère  Johann Gottlieb Fichte, celle qui libère l’homme de sa religion pour l’élever à la dignité d’Homme universel, qui a pourtant sa  religiosité à lui, qui est la nécessité du sacré, où règne  le bonheur, saisi comme perfectionnement de nous mêmes et élévation de l’esprit envers l’Etre Suprème. 
        Et la connaissance intime de la Mort se fait sentir dans les compositions “religieuses” de Mozart à savoir les “Messes” et surtout le célèbre "Requiem", qui sont imprégnées de la religiosité propre du Franc-maçon. Planant au-dessus des dogmes, celui-ci indique à l’Humanité une voie de salut fondée sur l’amélioration de soi et réalisée par cette Initiation qui a marqué la mort de la vie profane.  
        Mais lorsque notre Frère Antonio De Curtis comparait la Mort au Niveau, il savait bien, en parfait initié,  que cet instrument a donné tant de bonheur à des millions d’êtres humains et que dans la symbolique maçonnique cet outil est l’un des éléments les plus importants.   
Il connaissait profondément la valeur de ce symbole. 
        En grec antique le terme  "symbolon" se relie au verbe  "synballein" qui signifie “rassembler”, “unir”, ce qui engendre le concept que le symbole est renfermé dans un premier temps dans la personne de son auteur, pour devenir progressivement ermetique pour tous ceux qui dans le temps et dans l’espace s’éloignent du processus de sa formation. 
        A l’origine on appelait “symbole” (dans l’ancienne Rome “Tessera hospitalis”) un objet qui indiquait le lien d’hospitalité entre les familles et les villes. Cet objet était brisé en plusieurs parties, chacune  d’entre elles  restant à chacune des parties qui avaient contractanté ce lien. C’était un signe de reconnaissance que si les parties de l’objet  joignaient.  
        Voilà donc revenir sous forme plastique le concept d’union pour signifier la solidarité entre tous ceux qui étaient liés par un ancien lien d’hospitalité, et ce concept devenait plus ample au fur et à mesure que le temps passait,      
en
arrivant à comprendre une croyance, une philosophie, une science et une connaissance.   
        Dans le monde moderne, l’interprétation tend à l’abstraction de l’élément  materiel. Aujourd’hui l’acception la plus connue et plus répandue du mot symbole  (inspirée par Nietzsche et par Freud), le conçoit comme dissimulation et masque,  recelant, en tout cas, plus qu’ils ne le dise ouvertement. C’est ce  “plus” qui est interprété par le grand érudit Paul Ricoeur comme la particulière trascendence du symbole vis à vis de ceux qui l’interprètent.   
        Ce n’est donc pas par hasard, si notre Frère De Curtis   s’est poétiquement inspiré du Niveau, car, avec la ligne d’aplomb ou  perpendiculaire le Niveau figure parmi les bijoux portés par les deux surveillants à leur sautoir,  et c’est là la dualité qui correspond à celle des deux colonnes du Temple de Salomon.   
        Nous savons que le niveau est constitué par une équerre droite au sommet de laquelle est suspendu un fil à plomb. Son but  essentiel en est celui de déterminer l’horizontale, mais dans le même temps il détermine aussi la verticale. Apparaît donc ici, dans une première approssimation, l’image de la Mort  accouplée à la position horizontale couchée  du défunt, mais aussi en même temps à l’élévation verticale de son âme envers le ciel.
        Mais encore plus profondément la structure du Niveau nous permet de relier sa symbolique à celle de la croix des dimensions cosmiques: des manifestations de la Volonté céleste au centre du cosmos,  illumination harmonieuse au niveau cosmique où notre esprit va rejoindre la Vérité. 
        N’oublions pas que le niveau est le bijou du Premier Surveillant à qui on  confie les Compagnons. Ceux – ci  passent de la perpendiculaire  (bijou du Second Surveillant qui supervise les Apprentis) au Niveau, réalisant ainsi cette majeure illumination qui dérive de la connaissance de l’activité céleste, de sorte que le Compagnon soit prêt à affronter sans peur l’épreuve suprême qui l’attend pendant son admission à la maîtrise et qui sera l’accomplissement de son aspiration.     
        Et c’est en effet dans l’Equerre qui orne le bijou du Maître Vénérable   qu’il y a la synthèse des significations symboliques de la Perpendiculaire (équilibre) et du Niveau (équanimité) desquels derive l’autorité liée à la rectitude.
        Mais il ne faut pas oublier non plus que ce symbole peut être relié à une qualification. Et ce n’est pas par hasard si notre Frère Antonio De Curtis a placé au centre de sa fresque poétique la figure de l’Eboueur, un métier utile à la collectivité, qui devrait être libéré de ses déchets et connecté à un besoin de propreté, de pureté, de rachat des laideurs du monde, de catharsis et de régénération.  
        C’est là un rappel transparent au devoir de l’Apprenti, dont le travail consiste à tailler la pierre brute pour la dégrossir de ses aspérités et de ses impuretés, pour la rendre digne du processus initiatique vers la connaissance, et en même temps adaptée à s’enchâsser parfaitement dans le plan divin de l’amélioration de l’Humanité.   
        Cependant tout le comportement de cet Eboueur est modeste seulement dans l’apparence, car, en fait, il est bien fier de sa propre dignité d’homme honnête et conscient de sa mission purificatrice. En se se rebellant contre la menace de sa liberté faite avec arrogance par le noble, il s’érige en sage éducateur et  en même temps en défenseur de la liberté et de la dignité de tous.  Nous sommes conscients, que par l’Eboueur, Totò n’a pas tellement voulu symboliser  la figure de l’Apprenti, masi plutôt celle  du Maître.   
        C’est avec ces paroles, simples mais incisives   que l’Eboueur  répond: 

"ccà dinto, 'o vvuò capì, ca simmo eguale?....
Muorto si tu e muorto so pur'io;
ognuno comme a'n'ato è tale e qquale"

(Là-dedans, tu veux enfin comprendre que nous sommes  égaux? Toi, tu  es mort et moi aussi je suis mort, nous sommes comme  au moment de notre naissance,  tels quels …)
         Notre Frère  Totò nous apprend en effet, tout d’abord, à être réaliste, à favoriser l’Egalité même si dans la diversité. 
        Plus bas son enseignement s’enrichit de la valeur de l’humileté  quand il commente la signification de la Mort comme  Niveau:   (En dialecte napolitain)

"Nurré, 'nu magistrato, 'nu grand'ommo,
trasenno stu canciello ha fatt'o punto
c'ha perzo tutto, 'a vita e pure 'o nomme".

(Quand un magistrat ou un grand homme passe cette grille, ils mettent un point à la ligne:  ils ont tout perdu, leur vie et aussi leur nom …)
        Et, enfin, quand il exorte le Noble: (En dialecte napolitain)

"stamme a sentì...nun fa' 'o restivo,
 suppuorteme vicino - che te 'mporta?
 Sti pagliacciate 'e fanno sulo 'e vive",

(Dis donc, écoute moi. Ne fais pas le chichiteux, supporte moi près de toi, qu’est que cela te fait? Ces pitreries, ne les font que les vivants …”
        En véritable initié, l’Eboueur fait appel à la Tolérance qui nourrit de soi la Fraternité, un sentiment qui, imprégné d’Amour, rend conscients de l’accomplissement de l’impératif catégorique: “Connais toi-même”, la devise de chaque Franc-Maçon dans le Temple,  où tout doit être “sérieux, sage, bienfaisant et joyeux
       Ce n’est qu’au profane démuni que “Le Niveau” peut apparaître un poème lyrique, (chose surprenante chez un grand acteur comique), qui chante les louanges de la Mort qui tout anéantit et qui tout nivèle.   
        A nous Initiés, notre Frère Antonio De Curtis a, par contre, offert une planche d’une profondité extraordinnaire, dans laquelle avec une merveilleuse synthèse et une grande simplicité il nous conduit, en incomparabile Maître et avec le doux sourire de l’intelligence, à travers les vertes prairies de l’Harmonie universelle où règnent beauté, bonté et vérité , ces filles de l’  "Amor che muove 'l sole e l'altre stelle" (Citation de Dante. “L’Amour qui mout le soleil et les autres étoiles”N.d.T.).
         C’est cet Amour qui devrait nous servir de guide, à nous  tous,  toujours et partout, unis dans une chaîne ininterrompue. Encore une fois notre Frère Totò l’invoque du Cosmos pour une Hunamité meilleure dans un de ses plus brefs, mais également profonds et délicats poèmes lyriques:  (En dialecte napolitain)
 
                   "'A cunzegna"
 
"'A  sera quanno 'o sole se nne trase
e dà 'a cunzegna à luna p' 'a nuttata,
lle dice dinto 'a recchia: «I' vaco â casa:
t'arraccumanno tutt' 'e nnammurate».

                   La Consigne

Au soir, quand le soleil s’en va
Et qu’il passe la consigne à la lune pour la nuitée,
il lui dit dans une oreille “Je rentre chez moi:
Je te recommande tous les amoureux …” 
          Il ne s’agit donc  plus là de nobles  ou d’éboueurs,  mais de vrais Hommes rendus frères par l’Amour dans le respect réciproque de la dignité et de la liberté.   

  9 mars 2001 E.'.V.'.                            VIRGILIO  GAITO
                                                                M.'. V.'.
                                                                   R.'.L.'. PISACANE DI PONZA HOD n.160
                                                                                          Or.'. di Roma
Disclaimer / Avviso 1
L'autore nonché titolare dei diritti e dei doveri relativi alla gestione di questo blog rende noto a tutti gli effetti di Legge quanto segue: 1) tutti i diritti di proprietà artistica e letteraria sono riservati. Ai sensi dell'art. 65 della Legge 22 Aprile 1941 n° 633, è vietata la riproduzione e/o diffusione totale o parziale - sotto qualsivoglia forma - senza che vengano citati il nome dell'autore e/o la fonte ancorché informatica.
2) E' vietato trarre copie e/o fotocopie degli articoli/interventi contenuti nel presente blog - con qualsiasi mezzo e anche parzialmente - anche per utilizzo strettamente personale/riservato.

Disclaimer / Avviso 2
Questo blog non rappresenta una testata giornalistica in quanto viene aggiornato senza alcuna periodicità. Non può pertanto considerarsi un prodotto editoriale ai sensi della legge n° 62 del 7.03.2001. L'autore non è responsabile per quanto pubblicato dai lettori nei commenti ad ogni post. I commenti ritenuti offensivi o lesivi dell’immagine o dell’onorabilità di terzi, di genere spam, razzisti o che contengano dati personali non conformi al rispetto delle norme sulla privacy, potranno essere rimossi senza che per ciò vi sia l'esigenza di prendere contatto anche preventivo con gli autori.
Nel caso in cui in questo blog siano inseriti testi o immagini tratti dal web, ciò avviene considerandoli di pubblico dominio; qualora la loro pubblicazione fosse tutelata da possibili quanto eventuali diritti d'autore, gli interessati sono pregati di comunicarlo via e-mail al recapito giuseppebellantonio@infinito.it al fine di procedere alla opportune rettifiche previa verifica della richiesta stessa. L'autore di questo blog, confermando di voler operare nel pieno rispetto delle norme di Legge in vigore, esprime anche la volontà di operare in armonia con le nuove norme entrate in vigore il 1° Aprile 2014 ed emanate dalla AGCOM, relativamente all'introduzione di nuove norme sul copyright digitale e online.
L'autore del blog non è responsabile della gestione dei siti collegati ovvero collegabili tramite eventuali link né dei loro contenuti, entrambi suscettibili di variazioni nel tempo.
Oltre ciò - specie per le parti informative a contenuto storico e/o divulgativo - i Lettori, ovvero quanti comunque interessati alla materia, che possano ritenere ciò utile e opportuno, potranno suggerire delle correzioni e/o far pervenire qualche proposta. Proposte che saremo lieti di valutare ed elaborare.


 

 

 

 

 

 

 

Nessun commento:

Posta un commento